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LUCILE DE LA RUE DES MARONITES

 

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Je suis tombée par hasard, il y a quelques jours sur votre site et depuis je ne fais qu'y penser. Mes souvenirs, et ceux qui m'ont été transmis par mes parents, me reviennent en mémoire, sans souci réel de chronologie, mais de façon très vivace. En effet, je suis née en 1935 et ai habité pratiquement, jusqu'en 1959, dans l'immeuble situé 24 rue des Maronites, juste en face de la rue du Pressoir. Mes grands-parents maternels y avaient "émigré" dès avant la guerre de 14, quittant la rue Saint-Blaise et St-Germain de Charonne pour N.D. de la Croix de Ménilmontant. Depuis les trois fenêtres de l'appartement, la rue du Pressoir fut durant toute mon enfance un lieu d'observation privilégié. Mes souvenirs sont à votre disposition si vous le souhaitez pour, notamment, ajouter des commentaires antérieurs aux années 50 à l'excellent plan que vous avez dressé. Lucile Flèche

Nos rues sont voisines et sans doute avons-nous quelques souvenirs en commun. Merci, Lucile, de nous adresser votre témoignage. Et peut-être possédez-vous des images du quartier avant sa démolition ? Nous sommes très intéressés, très émus, et d'avance nous vous remercions. Ecrivez ici

Commentaires

  • Je reçois un mail de Nicole Bourg me demandant si nous avons de vos nouvelles. Elle aimerait bien en savoir plus sur la rue des Maronites, vous étiez au 24 et Nicole au 31. Elle me dit que votre immeuble se situait à côté de la poste, là où les télégraphistes rentraient à bicyclette ainsi que les véhicules de postiers. L'entrée de la poste pour le public se trouvait juste à côté de mon école, rue Etienne Dolet. Alors si vous avez d'autres souvenirs, n'hésitez pas, vos souvenirs seront les bienvenus.
    Josette

  • J'espère ici écrire en réponse aux commentaires de Josette Farigoul et Nicole Bourg. Certes je me souviens de la rue des Maronites ! J'y habitais. J'ai écrit mes souvenirs pour Guy Darol et vous les trouverez sur le site. Mais je suis prête à "développer" sur la rue des Maronites si vous le souhaitez.
    Le 24, comme indiqué plus haut, était juste dans l'axe de la rue du Pressoir, l'arrière du bâtiment de la Poste de la rue Étienne Dolet donnait effectivement sur la rue des Maronites, mais à peu près à mi chemin entre le boulevard de Belleville et la rue du Pressoir.
    À bientôt peut-être ?

  • Pour répondre à Lucile, j'habitais aussi, rue des maronites, ainsi qu'une partie de ma famille maternelle, au 31, puis au 34.J'ai également beaucoup de souvenirs, notamment le boucher, côté pair.Le magasin se trouvait à l'angle de la rue des maronites, et de la rue du liban. Rue, que nous empruntions tous les jours, pour nous rendre à l'école, rue Etienne Dolet. J'ai cela en commun avec Josette, ainsi que le magasin, côté impair, dans lequel l'on pouvait acheter les illustrés, la mercerie, les "roudoudous", les caramels à 1 franc.
    Avez vous pris connaissance, de nos billets et commentaires? quant à moi, mes
    souvenirs, de la rue des maronites, sont très présents. Depuis que je participe
    au site de notre quartier, je m'y promène, je revis mon enfance, avec beaucoup de nostalgie.Lucile, si vous le désirez,continuez avec nous, d'enrichir
    notre site.En ce qui me concerne, mes souvenirs, seront l'objet d'autres billets
    en perspective. Merci encore.
    Nicole

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